AVIS A NOS ENNEMIS ET A NOS AMIS

Deux mois après le massacre et les enlèvements d’otages perpétrés par les « pauvres Palestiniens de Gaza », autre nom des terroristes du Hamas, sur des centaines d’enfants, de femmes et d’hommes Juifs endormis dans leurs villages de l’Ouest du Néguev, avec une cruauté indescriptible assez inhumaine pour en avoir fait des vidéos d’une horreur sans pareille, dont ils sont fiers, nous sommes encore sous le choc.
Mais nous ne sommes pas moins frappés par la duplicité jésuitique de trop nombreux leaders Occidentaux, venus chez nous témoigner, juste après cet assaut, de leur solidarité, mais si prompts à s’apitoyer sur le sort des « enfants de Gaza » lorsque nous avons commencé notre riposte fondée sur notre détermination unanime de ne plus accepter désormais de vivre sous une semblable menace de monstres à face humaine qui ne manquent d’ailleurs pas de nous promettre de recommencer encore et encore d’une voix forte et officielle.

Nous avons une part de responsabilité dans ce malheur. Et ce n’est pas seulement, pour nos militaires, de s’être laissé berner par la ruse minable des ruffians du Hamas, qui quelques jours avant l’attaque, avaient cessé les bombardements de nos civils, laissaient entendre qu’ils pourraient libérer les quelques Israéliens et les corps de deux de nos soldats qu’ils gardent depuis des années aux fins de chantage, et être intéressés à augmenter le nombre d’habitants de Gaza autorisés à gagner leur vie à divers travaux en Israël.

C’est aussi d’avoir cru les Occidentaux qui voulaient sans cesse nous convaincre qu’une normalisation est possible avec le Hamas, alors même qu’il expédie sur nos civils depuis des années, des roquettes et des missiles de plus en plus perfectionnés, à partir d’écoles, de lieux de culte, d’hôpitaux et de centres internationaux patronnés par l’ONU, autant de centres nerveux de leur effort de guerre protégés par boucliers humains.

Il fallait que les Occidentaux fussent aveugles et sourds pour refuser de voir que leur aide financière est massivement détournée pour financer des achats d’armes massifs et la construction de tunnels d’assaut, débouchant jusque sur notre territoire, et d’un réseau immense de bunkers reliés par un véritable « métro » enfoui dans le sol à bonne profondeur, du nord au sud de la région de Gaza.

Notre responsabilité consiste en ceci que bien que nous le sachions et que nous n’avons cessé de protester auprès de nombreux Etats occidentaux qui en fait participaient à l’effort de guerre terroriste contre nous, nous n’avons pas agi avec suffisamment de détermination.

En outre, comme nous parvenons grâce à une invention défensive israélienne, le « Dôme de fer » à limiter les dégâts causés par leurs bombardements incessants en interceptant encore en vol les missiles qui selon un calcul ultra-rapide vont toucher des zones habitées, nous avions pris l’habitude de vivre comme cela. Nous ne nous rendions pas compte que c’était accepter une érosion de notre souveraineté.

Tout le monde devra comprendre très vite que cela est terminé. Nous n’acceptons plus de vivre comme cela désormais. Nous détruirons ce qu’il faut détruire pour ne plus permettre à quiconque de nous traiter ainsi, quelles que soient les protestations « humanitaires » de nos ennemis et de nos amis.

Le Hamas détient encore quelques 140 otages israéliens, hommes, femmes et enfants qui courent un grand danger. Non seulement, nous les délivrerons, mais aussi nous créeront les conditions nouvelles d’une vie pacifique en commun. Nous n’aurons aucune confiance pour ce faire, ni dans les organisations internationales, ni dans le « grandes puissances » qui ont prouvé à l’envi, au Liban et ailleurs, leur inefficacité à reconnaître nos droits résultant d’accords signés et garantis.

Nous ferons ce qu’il faut faire et nous serons un certain nombre à ne pas accepter alors de nous plier aux pressions extérieures et intérieures venues chez nous des prétendus « humanistes ».

Le massacre du 7 Octobre a changé quelque chose de fondamental. Il a suffi d’à peine quelques heures pour assassiner, violer, défigurer, brûler vifs, couper la tête, démembrer 1400 personnes. Pourquoi ? parce qu’ils étaient Juifs et surtout parce qu’ils étaient Israéliens, des Juifs souverains dans leur Patrie historique. Les Arabes Israéliens n’ont d’ailleurs pas été épargnés non plus. Ceux qui parmi nous n’ont pas encore compris, vont comprendre.

L’Occident tout entier ferait bien de comprendre, lui aussi, les caractéristiques réelles du « Djihad ».

Léon Rozenbaum

 

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