Le temps du mensonge

La subversion qui tente par la violence et la manipulation de mettre à bas le gouvernement et le parlement légalement désignés par le Peuple d’Israël il y a à peine trois mois, ivre d’un pouvoir illusoire croit avoir gagné.
Plus que jamais, les représentants légaux du peuple doivent maintenir le cap et mettre un terme aux abus et à la domination des juges de la Cour Suprême sur l’appareil de l’Etat en suivant les procédures prévues par la loi.

Il reste que derrière la violence déchainée dans la rue, la désinformation systématique des principaux médias, l’irresponsabilité criminelle des chefs de l’opposition, le chantage de certains militaires, la complicité de certains universitaires, se profile une crise de société, largement appuyée et financée de l’Etranger.

Il faut être idiot pour ne pas voir que tout porte à croire que certaines agences discrètes du Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique spécialisées dans les « révolutions de couleurs » réalisées dans divers pays autrefois sous domination communiste, ont mis à la disposition de la subversion en Israël d’immenses moyens financiers, logistiques et de techniques manipulatoires.

Jouer sur des peurs totalement infondées de la population laïque de voir l’Etat d’Israël devenir très vite une sorte de théocratie à la mode iranienne, comme si l’immense majorité de la population traditionnaliste n’était pas, elle, attachée au respect des principes authentiques de la démocratie parlementaire gauchie par les abus des juges, est un crime contre l’Etat et le Peuple.

Que Biden, soutenu en coulisse par Obama, ait juré la perte de Netanyahou parce qu’il dérange ses plans de composer avec le régime haïssable des Ayatollahs, et par haine personnelle, n’est un secret pour personne.

La majorité du Peuple d’Israël s’est exprimée démocratiquement par son vote. Elle a gardé son calme face à une subversion caractérisée. Le Hok Haonchin, le code pénal Israélien prévoit une peine de 15 ans d’emprisonnement pour le délit de « Mérida » ou appel à la subversion. Certains leaders de l’opposition et commandants de l’Armée, seraient bien inspirés de relire ces articles. En effet, la patience louable de la majorité a des limites.

Même si le gouvernement concède un retard dans l’édiction d’une législation modeste qui commence la correction des déviances introduites dans le fonctionnement de la démocratie israélienne par les abus de l’activisme judiciaire, il est clair que cette entreprise sera menée à bien.

Léon Rozenbaum

 

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